Bien malin celui qui peut dire en son âme et conscience aujourd'hui que le microcrédit Alafia n'apporte rien entre autres à la gente féminine. Disons en clair que ce programme impacte positivement la vie des populations béninoises en les sortant de la précarité ambiante. Au constat, le nombre de bénéficiaires surtout les femmes sacrifient à un rythme effréné. Tant, la demande est forte, pressante et le montant initial passant de 50.000 FCFA à 100.000 FCFA.  

Au nombre des facteurs qui ont contribué, il y a que la procédure d'obtention est débarrassée des  tracasseries qui le rendaient parfois inaccessible sur fond d'enrichissement illicite des acteurs qui s'en occupaient. Il y a en prime, la digitalisation du programme. 

Partant, il convient de reconnaître qu'un pas novateur a été franchi grâce au leadership du bâtisseur national, son Excellence Patrice TALON, Chef de l'État, Chef du gouvernement. En réalité, tout ceci mérite d'être souligné car il faut l'avouer, avec 100.000 les femmes qui sont dans des activités génératrices de revenus mettent en pratique les outils de bonne gestion qui leur ont été inculqués par le programme pour faire prospérer leurs affaires. Qui peut dire également par exemple qu'avec ce montant, la vendeuse de beignets d'Allada n'espère pas un chiffre d'affaires jamais égalé par elle. Ne parlons plus de cette dame revendeuse de mèches à Cocotomey. 

À l'instar de plusieurs d'autres commerçantes qui rejoindront bientôt les marchés modernes construits par le gouvernement sous l'impulsion du Président TALON, elle confie sans se faire prier, à l'occasion des vox populi des médias, que cet argent lui a permis de renforcer son commerce et continue de l'aider à le diversifier. 

Faire retentir un son de cloche qui est aux antipodes de la réalité dénoterait d'un esprit de la beninoiserie et d'une intention de nuire certainement. Comme quoi, qui veut tuer son chien l'accuse de rage. Mais heureusement que le gouvernement de Patrice TALON veille au grain. Il le fait surtout par le biais du Porte-parole du gouvernement. 

Wilfried Léandre HOUNGBÉDJI qui est à l'avant-garde des infox, intox, et infirmations non avérées éventuelles. Il ne cesse de prendre son bâton de pélerin pour aller détricoter avec sa déroutante pédagogie habituelle les mensonges contre le Programme d'actions du gouvernement dans tous ses états. C'est dire, somme toute, que les impacts sociaux sont perceptibles et crèvent d'ailleurs l'œil. 

Au plan économique en effet, point n'est besoin de s'attarder là-dessus ici. Mais s'agissant de l'aspect social, puisque c'est de cela qu'il s'agit, c'est véritablement impactant. En considérant notamment ses bienfaits dans les milliers de foyers, son apport sur l'épanouissement et ses retombées par rapport à l'autonomisation de la femme. 

Donc, pris dans tous les sens, le microcrédit Alafia a bien du mérite. Les résultats obtenus sont si encourageants qu'il n'émousse en rien la détermination du Chef de l'État à toujours plaider auprès des bailleurs pour son renforcement continu. Et pourquoi pas, aller à 500.000 FCFA comme montant initial, qui sait ? 

David DOLTAIRE
#MediapartBénin, l'information en temps réel

Partager