« Ceux qui ont été les acteurs et les témoins de cette conférence se sont lancés dans une lutte du pouvoir. Puisque l’une des résolutions de cette conférence, c’était qu’un premier ministre de transition ne devrait pas être candidat à l’élection présidentielle. Résultat final, c’est lui qui a été le premier Président de cette démocratie. », a expliqué le ministre Alain OROUNLA
Le deuxième acte du GFP s'est déroulé le vendredi 21 février 2020 à la salle de conférence du ministère des affaires étrangères et de la coopération. Face aux professionnels des médias, le ministre Alain OROUNLA a développé entre autres sujets, la réhabilitation de l'hôtel PLM Alédjo.
Selon le ministre porte-parole du gouvernement, avant le Président Patrice TALON, personne n’avait véritablement pensé à rénover cet espace de démocratie que constitue l'hôtel PLM Alédjo. A l'en croire, cet espace de démocratie a été laissé à la démocratie reptilienne, parce qu’il se dit, que ce sont des serpents qui allaient visiter cet endroit. En claire, cela veut dire que ceux qui revendiquent la paternité de cette conférence nationale et qui ont la plume acerbe contre le gouvernement, ne se sont pas penchés sur les symboles même de cette conférence. Pour ceux qui préjugent que le Chef de l’État remet en cause les acquis de la conférence nationale, le ministre a rappelé l’histoire. Il trouve plutôt que, la 1ère violation de l’esprit de la conférence provenait de ceux qui en étaient les principaux acteurs.
« Ceux qui ont été les acteurs et les témoins de cette conférence se sont lancés dans une lutte du pouvoir. Puisque l’une des résolutions de cette conférence, c’était qu’un premier ministre de transition ne devrait pas être candidat à l’élection présidentielle. Résultat final, c’est lui qui a été le premier Président de cette démocratie. Ce qui prouve que les prédécesseurs du Président TALON, n’ont pas tiré conséquences des résolutions qu’eux-mêmes ont adoptées », a-t-il expliqué.
E. G.
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